« La Commission électorale nationale autonome chargée de la supervision du processus a tenu son rôle, mais sans faire preuve d’initiatives et de réactivité, opérant comme un bras de l’administration plutôt qu’un organe de supervision communiquant les informations qu’elle recueille et alertant sur les difficultés ou les anticiper », tranche l’Union européenne qui présentait, hier, son rapport sur l’élection présidentielle du 24 février 2019.
Selon le journal Walf Quotidien, qui donne l’information dans sa parution de ce mardi, Elena Valenciano et Cie de l’Union européenne recommande, pour un souci d’efficacité et de transparence de la part de l’équipe dirigée par le magistrat à la retraite Doudou Ndir, le respect de la durée du mandat ainsi que la révision du mode de désignation des membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena).