Son destin ne se limite pas à la rémoulade! Sous son air coriace, le céleri-rave dissimule une chair douce et goûteuse, qui peut se savourer crue ou cuite. Nos recettes pour adopter ce gros bulbe rustique et profiter de ses nombreux nutriments.
SES ATOUTS
• Alcalin : fortement alcalinisant, il contribue au maintien de l’équilibre acido-basique de l’organisme (évite l’excès d’acidité).
• Minéralisant : source de potassium, phosphore, cuivre, manganèse et calcium, il affiche une belle densité minérale.
• Ami du transit : sa teneur en fibres (plus élevée lorsqu’il est cru) active en douceur le péristaltisme (contractions) intestinal et permet de détoxifier l’organisme.
• Vitaminé : source de vitamine C (si on le consomme cru), il contient également des vitamines du groupe B, notamment B1 (métabolisme énergétique, système nerveux) et B9 (renouvellement cellulaire, développement fœtal).
• Zéro déchet : s’il est bio, on ne jette pas la peau du céleri. Enveloppée dans une mousseline, elle parfumera délicatement un bouillon, parfait pour pocher un poisson.
SES PETITS DÉFAUTS
• Naturellement salé : 100 g de céleri contiennent 0,2 g de chlorure de sodium, qui dope les bouillons et les pot-au-feu. Ne pas en abuser en cas de régime sans sel.
• Allergisant : cru ou cuit, il fait partie des allergènes alimentaires courants. Si on est allergique aux pollens d’armoise ou de bouleau, prudence (risque d’allergie croisée).
• Anticoagulant : du fait de sa teneur en vitamine K, il doit être consommé sans excès par les personnes sous anticoagulants.
SON CV
32 Cal*
Protéines : 1,5 g
Lipides : 0,2 g
Glucides : 4,3 g
Fibres : 3,7 g
*Pour 100 g de céleri cru.
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