Le professeur d’histoire Nouha , membre du Groupe de réflexion pour la paix en Casamance a étalé ses inquiétudes sur une probable reprise des hostilités dans la région naturelle de la Casamance. Sur les ondes de la Rfm, il considère que l’affaire du zircon, la situation des 7mille réfugiés casamançais en Guinée bissau et l’arrestation des partisans du chef rebelle Salif Sadio sont autant de situations qui créent les conditions d’un nouveau conflit en Casamance.
Nouha Sané a souligné l’urgence pour l’Etat et le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) de se parler afin ‘’d’éteindre les signaux rouges’’ menaçant l’accalmie dans cette région sud du Sénégal.