« Depuis plusieurs mois, l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (ipres) traverse une très profonde crise d’autorité liée à la gestion des hommes et des ressources financières. D’abord, l’affaire du trafic des tickets-restos qui a causé un préjudice financier estimé à des centaines de millions de Fcfa n’est pas encore élucidée. Ce, malgré la plainte annoncée en grande pompe par le Directeur général Mamadou Sy Mbengue. D’ailleurs, certains syndicalistes ne croient pas à cette plainte déposée à la Dic. Sinon, pourquoi le Dg tarde-t-il à faire accélérer la procédure judicaire pour faire auditionner les mis en cause dont une de ses proches assistantes ? », écrit Le Témoin.
Le journal dit aussi apprendre « qu’à Saly, où se déroulait un séminaire, un cadre s’est distingué par des insanités, en lieu et place des réflexions poussées ». Pendant ce temps, « un autre s’est fait agresser par une dame ». Allez savoir pourquoi. Pire, l’Ipres croule sous le poids de recrutements « clandestins « . Quid des raisons de la mutation du chargé de mission B. F. à Thiès et de l’agence du Point E où la majorité des agents sont grassement payés à ne rien faire. Normal, quand on sait que « le Dg Mamadou Sy Mbengue se targue d’être le beau-frère de Marième Faye Sall et que le Pca Mamadou Racine Sy laisse pourrir la situation, ce qui est dommage pour une institution prestigieuse par le passé ».