Quelques jours après la lancement de se collection capsule de vêtements, Meghan Markle vient d’apprendre une triste nouvelle…
Le 12 septembre dernier, elle avait fait sa rentrée en plein coeur de Londres sur Oxford Street, tout sourire. Revenue de son congé maternité, Meghan Markle avait donné le coup d’envoi d’une opération spéciale qu’elle prépare depuis des mois… Marraine de Smart Works, une organisation caritative nationale qui aide les femmes sans emploi et vulnérables à retourner du travail, l’ex actrice de « Suits » a dessiné une collection capsule de vêtements, avec John Lewis, Jigsaw et sa proche amie la créatrice de mode Misha Nonoo, pour leur donner un coup de main. « L’exact opposé de la raison morale » Et les cinq pièces aux prix très accessibles ont rapidement trouvé preneurs.
Malheureusement, de « petits malins » ont également shoppé la collection de la duchesse de Sussex pour se faire de l’argent. C’est ce que les spécialistes royaux Lorraine Kelly et Russel Myers ont expliqué dans les colonnes de l’Express, cette semaine. Ils ont précisé : « Au départ, vous faites une collection pour un organisme de bienfaisance qui aide les femmes défavorisées à réintégrer le monde du travail en leur offrant de superbes tenues. Et maintenant, vous voyez des gens ratisser tous les modèles en trois jours et les vendre sur eBay presque dix fois leur valeur. Nous avons une robe de la collection de Meghan d’une valeur de 20 euros vendue sur Internet 180 euros. Cela va à l’exact opposé de la raison morale pour laquelle le projet a été lancé ». Le tandem a également expliqué que cette affaire avait rendu Meghan Markle complètement furieuse. Et on comprend aisément pourquoi.
La femme du prince Harry avait annoncé officiellement cette collaboration dans le numéro de Vogue UK de septembre. Et son programme était tout à fait clair. « Pour chaque article acheté par un client » Dans la bible de la mode, la maman d’Archie avait en effet précisé : « Pour chaque article acheté par un client, un article sera donné à une œuvre de charité ». Et d’ajouter : « Non seulement cela nous permet de faire partie de l’histoire des autres femmes, cela nous rappelle aussi que nous sommes toutes ensemble ». A présent court-circuitée, on se demande comment elle compte protéger ses stocks des prédateurs, tandis que la collection est actuellement réapprovisionnée…