Suite à la parution de notre article, nos enquêteurs ont reçu énormément de témoignages anonymes de la part d’agents de la Banque UBA Sénégal confirmant les éléments en notre possession. La peur de représailles, est cependant évoquée par beaucoup.
es derniers ont dénoncé vertement un climat délétère qui sévirait dans leur établissement, où les sanctions et les menaces fusent de partout. Parfois au mépris des règles du droit du travail.
Presque aucun service n’est épargné par cette situation, et certains acquis seraient même remis en cause.
L’exemple pathétique des chauffeurs de l’entreprise, qui seraient rationnés pour le carburant, en présence d’un agent de contrôle. Ou bien le cas du service IT, qui fonctionne depuis six (6) mois avec une seule personne, après le licenciement des trois (3) informaticiens.
Il ressort dans nos échanges, une incompréhension totale de la stratégie mise en place par la Gouvernance actuelle, qui fait du tâtonnement puisque ne maîtrisant pas le marché bancaire sénégalais fortement concurrentiel.
Selon nos sources, les chiffres de la banque pourraient être négativement impactés, poussant la Direction Générale à mettre la pression sur ses commerciaux, malgré la situation pandémique et le ralentissement général de l’économie.
Depuis, le limogeage « abusif » de l’ex DG et le remplacement de la quasi totalité des Directeurs, qui ont paraît-il, réalisé de très bonnes performances en 2019 et même durant le premier semestre 2020, le navire est en pleine zone de turbulences.
La plupart des employés ne demandent qu’à travailler sereinement et hisser UBA Sénégal, parmi les meilleures banques de la place, surtout, lui faire retrouver son lustre d’antan.
D’autres révélations concernant la gestion de la banque comme l’affaire de SOFICO et CFU : Ces comptes secrets que l’Etat alimentait avec Tahirou Sarr ou de l’affaire SAR, sont entre nos mains.
Leral.net