Aida Mbodj a du mal à digérer le rejet par le Conseil constitutionnel, de sa candidature lors de la présidentielle du 24 février dernier. Sur ce, elle a tenu à déclarer à qui veut l’entendre que personne ne pourra empêcher le Parti de l’Alliance pour la démocratie (And) de prendre part aux élections locales à venir.
«Si nous n’avons pas pu faire valider notre candidature de la présidentielle dernière, rien ni personne ne pourra, en revanche, empêcher à l’Alliance nationale démocratique d’être au centre des élections locales», a-t-elle déclaré sans détour.
A l’en croire, «nous assumons pleinement la position qui a été la nôtre face à un scrutin qui a été joué d’avance. Et nous avons eu l’occasion de révéler ce qui a de plus beau dans un Parti, la souveraineté. Nous avons pris position en toute souveraineté et nous en sommes très satisfaits».