Fermé, depuis le 7 décembre 2017, aux différents vols, à l’exception de l’Escadrille présidentielle, l’Aéroport International Léopold Sédar Senghor est de plain-pied dans les cimetières.
En effet, en plus des prédateurs fonciers, SourceA révèle que le site devenu un Aéroport militaire est l’objet de multiples vols portant sur «sièges sur poutres, bancs, canapés, comptoirs d’enregistrement ou de débarquement, matériels légers, éléments du système de tri des bagages, matériel lourd, comme le système d’acquisition dynamique, convoyeur à bagages…subit la loi des voleurs…, rien n’est laissé au hasard».
Pis, selon toujours les confidences faites à votre journal, même du matos laissé sur les lieux par l’Asecna n’est pas épargné. Le faible effectif du dispositif sécuritaire laissé sur place ne réussit pas à couvrir le périmètre aéroportuaire.