« L’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) est dans la plus grande illégalité. La structure de contrôle, qui n’a pas publié son rapport 2017 à temps (avant fin 2018), va-t-elle finir l’année 2019 sans le faire ? », écrit Les Échos dans sa livraison de ce mercredi.
Le journal d’enchaîner : « Pourtant, les cabinets chargés d’exécuter les audits ont fini le travail depuis très longtemps. Un fait bien grave dont les véritables raisons sont à chercher bien loin des bureaux du régulateur ». Hélas, les petits calculs politiciens sont passés par là.
En effet, révèle Les Échos, « l’Armp ne voulait pas exposer les cafards du régime à deux mois de la présidentielle, sans parler de l’affaire du pétrole et du gaz qui est venue corser la situation et du mandat du Directeur général, Saër Niang, à terme depuis 30 mois ».