Une nouvelle étude scientifique montre que les femmes qui se lèvent tôt, auraient moins de risque de développer un cancer du sein que les autres. Voici quelques résultats de ces études :
Lors d’une conférence de l’Institut britannique contre le cancer (NCRI) à Glasgow, une étude très sérieuse a révélé que les enfants qui se lèvent tôt ont un risque réduit de 40% d’avoir le cancer du sein que ceux qui se lèvent tardivement. En effet, les chercheurs de l’Université de Bristol, après avoir mené leurs études, ils suggèrent notre horloge interne, ou rythme circadien, peut jouer un rôle dans notre probabilité d’avoir un cancer du sein. D’ailleurs, ce rythme circadien, qui suit un cycle de 24 heures environ, est propre à chacun et varie tout au long de la vie : les enfants qui se lèvent très tôt que les adolescents, en sont une parfaite illustration.Cependant, l’équipe de recherche a utilisé une méthode appelée “randomisation mendélienne” pour mener à bien ces travaux : l’identification et l’utilisation de variantes génétiques liées à des facteurs de risque potentiels. ici on utilise le rythme circadien pour déterminer s’il y a ou non un lien de corrélation entre ce dernier et une maladie. Cette méthode est réputée plus fiable que les autres méthodes d’observation.
Les femmes “lève-tôt” mieux loties que les “couche-tard” pour le cancer du sein : Le risque de cancer du sein s’est révélé 40% plus faible chez les patientes porteuses des variantes génétiques de “lève-tôt” que chez les femmes davantage du soir, dans les données de la BCAC. Chaque heure supplémentaire de sommeil au-delà des 8 heures recommandées, a par ailleurs été associée à une augmentation de 20% du risque de cancer du sein.Les données ont montré que sur une période de huit ans, environ deux femmes “couche-tard” sur 100 recevront un diagnostic de cancer du sein, contre une seule femme “lève-tôt” sur 100.