Alors qu’il consomme son contrôle judiciaire décerné par le doyen des juges, pour division de fausses nouvelles, dans l’affaire Batiplus, Cheikh Yérim Seck retourne à la Section de Recherches, ce lundi. Pour une affaire présumée d’avortement.
Selon l’Enquête dans sa livraison de ce lundi, le journaliste, qui n’est pas encore sorti de l’auberge, est cité, cette fois-ci, dans une sombre affaire d’avortement présumée.
En effet, il serait accusé d’avoir engrossé une fille mineure avant de l’inciter à avorter. Il aurait remis 200 000 Fcfa à une amie pour faire avorter ladite fille.
Quatre personnes dont un infirmier, la mineure engrossée, son amie et la proche du journaliste sont aux arrêtés.
En 2012, Cheikh Yerim Seck avait été condamné dans une affaire de moeurs. Il a été accusé accusé de viol contre l’étudiante Ndèye Aïssatou Tall.
Est-ce une cabale contre le journaliste qui dérange ? On sera édifié ce lundi.
senegalactu