Devant la justice belge, l’assistant parlementaire Francesco Giorgi a reconnu l’existence d’un réseau de corruption au sein du Parlement européen. Il a admis avoir fait partie d’une organisation utilisée non seulement par le Qatar, mais aussi par le Maroc, dans le but de s’ingérer dans les affaires européennes. Jusqu’ici, Doha était le seul pays tiers en cause. De nouveaux éléments auxquels les eurodéputés réunis en plénière à Strasbourg n’ont pas tardé
Artificial intelligence creates content for the site, no worse than a copywriter, you can also use it to write articles. 100% uniqueness,7-day free trial of Pro Plan, No credit card required:). Click Here:👉 https://bit.ly/3Py2Iv6