
Saër Diop, Directeur général de l’Aeme (Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie), responsable politique à Diourbel, membre de la famille politique de la présidente Aminata Tall, directeur de campagne de la coalition Benno bokk yakaar pour les Locales, qui prenait la parole lors de l’assemblée générale d’évaluation qu’ils ont organisée, a soutenu que le président de la République, Macky Sall, avec tout le travail qu’il est en train de faire pour Diourbel et pour tout le Sénégal, mérite que la coalition Benno bokk yakaar soit largement majoritaire à l’Assemblée nationale.
À cette rencontre politique, le Directeur général de l’Aeme (Agence pour l’économie et la maîtrise), Saër Diop, responsable politique à Diourbel, a soutenu que le président de la République, avec tout le travail qu’il est en train de faire au niveau de Diourbel, au niveau du Sénégal, mérite que la coalition Benno bokk yakaar soit largement majoritaire à l’Assemblée nationale.
En ce sens, a-t-il dit, ils se doivent de gagner le pari de mobiliser le maximum de parrains. Tout en rappelant qu’en 2018, leur entité politique, sous la coordination de madame la présidente Aminata Tall, avait collecté plus de 60 mille parrains. Ce qui était déjà largement suffisant pour parrainer le Président Macky Sall, a-t-il fait remarquer.
Donc, aujourd’hui, leur grande intention, a-t-il fait part, c’est de suivre ses pas en mobilisant le maximum de parrainage pour montrer qu’ils sont encore debout pour donner une large victoire au Président Macky Sall lors des élections législatives.
Il a aussi officiellement dit que leur entité politique est déjà candidat à la candidature pour les élections législatives. Et vont proposer des candidats en déposant leurs dossiers de candidature pour qu’ils aient au moins un représentant au niveau de ceux qui seront élus demain.
Par ailleurs, le Dg de l’Aeme a cloué la boucle en mettant à la disposition de ses militants de la commune et du département, 3 millions Cfa convertis en sucre pour les besoins du mois béni de Ramadan, un mois de partage, de solidarité et de pardon
Tribune





![Liban: les pénuries d’essence continuent et entraînent des files d’attente monstres Malgré les promesses du gouvernement, la fin progressive des subventions qui maintenaient le sans plomb et le diesel à un prix huit fois inférieur au marché n’a pour l’instant pas l’effet escompté. Les files d’attente devant les stations continuent, et beaucoup de pompes restent fermées ce mercredi 30 juin. PUBLICITÉ Avec notre correspondant à Beyrouth, Noé Pignède En plein centre-ville de Beyrouth, une file d’attente de plusieurs kilomètres s'est formée pour faire le plein. Les Libanais excédés désespèrent d’avoir de l’essence. « Les stations-services ont du pétrole mais elles l'ont gardé ces derniers jours parce qu'elles attendaient l'annonce officielle qui disait que le prix de l'essence allait augmenter progressivement chaque jour, explique Yara, qui se bat depuis trois heures pour ne pas perdre sa place dans la file d'attente. Ils ont augmenté aujourd'hui de 50%. Évidemment si je me mets à leur place et que je suis fourbe, je me dis : "Qu'est ce que je m'en fiche du peuple ? Pourquoi ne pas me faire 50% en 24h ? Je garde, qu'il crèvent, qu'ils n'aient pas d'essence, ils reviendront comme des petits chiens à attendre et mendier !"... Et ça ce n'est que le début ! » Ce n'est que le début, car dans trois mois, avec l’arrêt des subventions, un plein d’essence devrait coûter 600 000 livres libanaises, soit 80% du salaire minimum mensuel. Petite corruption En plus de l’augmentation des prix, les Libanais font toujours face à de grosses limitations du nombre de litres par voiture : tout est rationné. Mais pour cela, Yara, qui doit faire plusieurs centaines de kilomètres aujourd’hui pour son travail, a trouvé la parade. « Ce que je vais faire, et c'est horrible, je vais le supplier [le pompiste, NDR] de me remplir deux fois la limite en lui glissant quelque chose sous la manche, sous la table... Si vous croyez que je suis la seule... Je déteste ça dans ce pays, mais voilà ce que je suis devenue », déplore la jeune femme. Une petite corruption à laquelle se livrent désormais tous ceux qui en ont les moyens. Pour les autres, se déplacer va devenir un luxe, dans un pays quasiment dépourvu de transports publics.](https://actuvision.com/wp-content/uploads/2021/06/liban-218x150.jpg)






