Eaux et forêts : Après les Oryx, un autre scandale se murmure chez les gardes forestiers

Eaux et forêts : Après les Oryx, un autre scandale se murmure chez les gardes forestiers

Une cinquantaine d’agents des services des eaux et forêts des parcs Nationaux du Sénégal sont dans le désarroi après le refus des autorités de respecter leurs promesses.

Justement, ces derniers, malgré des promesses tenues en hauts lieux pour avoir permis de donner un statut au corps des gardes, cherchent depuis plus d’une vingtaine d’années leur régularisation avec une intégration dans la fonction publique.

En effet, suite à la militarisation de leur corps en 2006, il devait sans suivre une intégration synonyme de régularisation. Justement, ces agents ont été recrutés en tant qu’ancien militaires bien avant la militarisation du corps et cela bien avant leur limite d’âge.

Le pire selon des indiscrétions, au même moment qu’ils subissent cette injustice, une secrétaire, sans aucun diplômes forestiers ou militaires est intégrée comme officier des eaux et forêts. Mais eux, malgré toutes les démarches administratives posées (Voir lettres de saisine des autorités et réponses) et un quota de 400 postes de régularisation, 50 agents pourtant les plus anciens du corps sont laissés en rade.

Ne pouvant plus prendre leur mal en patience en supportant ces injustices, ces agents des eaux et forêts ne comptent nullement se résigner. Ils promettent de réclamer leur dû.

Des actions de leur part sont prévues dans les prochains jours
Une cinquantaine d’agents des services des eaux et forêts des parcs Nationaux du Sénégal sont dans le désarroi après le refus des autorités de respecter leurs promesses.     Justement, ces derniers, malgré des promesses tenues en hauts lieux pour avoir permis de donner un statut au corps des gardes, cherchent depuis plus d’une vingtaine d’années leur régularisation avec une intégration dans la fonction publique.  En effet, suite à la militarisation de leur corps en 2006, il devait sans suivre une intégration synonyme de régularisation. Justement, ces agents ont été recrutés en tant qu’ancien militaires bien avant la militarisation du corps et cela bien avant leur limite d’âge.  Le pire selon des indiscrétions, au même moment qu’ils subissent cette injustice, une secrétaire, sans aucun diplômes forestiers ou militaires est intégrée comme officier des eaux et forêts. Mais eux, malgré toutes les démarches administratives posées (Voir lettres de saisine des autorités et réponses) et un quota de 400 postes de régularisation, 50 agents pourtant les plus anciens du corps sont laissés en rade.     Ne pouvant plus prendre leur mal en patience en supportant ces injustices, ces agents des eaux et forêts ne comptent nullement se résigner. Ils promettent de réclamer leur dû.  Des actions de leur part sont prévues dans les prochains jours