Gareth Bale accepte de partir du Real Madrid !

Mis de côté par Zinedine Zidane, le Gallois a longtemps refusé de changer d’air, préférant toucher son confortable salaire à Madrid, même sans jouer. Mais aujourd’hui, l’ancien Spur aurait changé d’avis.
La situation devenait intenable, voire même triste. Arrivé en star au Real Madrid en 2013, Gareth Bale (31 ans), qui devait succéder à Cristiano Ronaldo, est depuis devenu persona non grata chez les Merengues. Surtout depuis que Zinedine Zidane a pris les rênes de la Casa Blanca. Jamais vraiment considéré comme un titulaire indéboulonnable, malgré quelques coups d’éclats comme son but en finale de Ligue des Champions contre Liverpool en 2018, le Gallois avait choisi l’opposition comme réponse.

Déçu par l’attitude de son coach, l’ancien pensionnaire de Tottenham a parfois égratigné publiquement ZZ par l’intermédiaire de son agent Jonathan Barnett. Sous contrat jusqu’en 2022, Bale avait cependant décidé de ne pas forcer un départ. Loin de là. « Gareth va bien. Il lui reste deux ans sur son contrat. Il aime vivre à Madrid et il ne va nulle part », déclarait encore son représentant en juillet dernier. La raison ? Bale apprécie les golfs madrilènes et surtout ses 15 M€ annuels qu’il peut difficilement toucher ailleurs.

Bale veut rejouer au foot… à MU ?
Mais alors que l’on se dirigeait vers un énorme gâchis financier, la radio Cadena SER a annoncé hier soir que Gareth Bale avait changé d’avis. A-t-il été motivé à l’idée de bien se préparer pour l’Euro 2020 décalé en 2021 ? Toujours est-il que Bale veut jouer et espère négocier un prêt. Ça tombe bien, Manchester United serait intéressé selon Skysports. AS en rajoute une couche en affirmant que Bale accepte de rejoindre les Red Devils pendant un an.

MU a longtemps cherché à arracher Bale des griffes madrilènes, mais s’était toujours cassé les dents jusqu’ici. Face à la complexité du dossier Jadon Sancho, les Mancuniens espèrent donc profiter de la situation compliquée du Gallois du Real Madrid pour obtenir un dynamiteur de défense. La balle serait désormais dans le camp de la Casa Blanca !