Les populations des Iles du Saloum vivent un calvaire sans précédent. Plusieurs localités sont sevrées d’eau depuis maintenant plus d’un mois (33 jours : Ndlr). Libération dans sa parution de ce mercredi, est revenu sur cette situation on ne peut plus scandaleuse.
D’après les informations de nos confrères, la Société d’exploitation des ouvrages hydrauliques (Seoh), est pointée du doigt. Cette société privée contrôlée par des capitaux étrangers, est la délégataire du Service public dans les Iles du Saloum.
Toujours, selon Libération, la qualité des “investissements” qui devaient permettre d’approvisionner correctement la zone en eau est en cause. C’est le cas du château d’eau de Mbodiène qui ne l’est que de nom.