B. K., âgée de 18 ans, qui évoluait à Thiaroye Basket club (TBC), disparue depuis le 16 septembre 2020, a été retrouvée.

L'ancien président est inculpé pour
L'ancien président est inculpé pour "association de malfaiteurs" dans ce dossier dans lequel il avait déjà été mis en examen en 2018 pour d'autres chefs. JUSTICE - L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a été mis en examen, après quatre jours d'audition, pour "association de malfaiteurs" dans l'enquête sur des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007, a indiqué le parquet national financier (PNF) ce vendredi 16 octobre, confirmant des informations de Mediapart. Cette nouvelle poursuite, révélée par le site d'information en ligne, est la quatrième dans ce dossier pour l'ancien chef de l'État qui a réagi sur Facebook en affirmant que que son "innocence" avait été "bafouée". L'ancien chef de l'État avait déjà été mis en examen en mars 2018 pour "corruption passive", "recel de détournement de fonds publics" et "financement illégal de campagne". Il avait également été placé sous contrôle judiciaire. Il s'était alors dit victime d'un "complot". Un collaborateur mis en examen en janvier "Chacun voit bien qu'il s'agit d'une décision sans précédent en cohérence avec les investigation réalisées. La procédure suit son cours" a pour sa part réagi Me Vincent Brengarth, l'avocat de l'association anti-corruption Sherpa, partie civile dans ce dossier. Le 31 janvier, les magistrats avaient mis en examen pour "association de malfaiteurs" l'un de ses anciens collaborateurs, Thierry Gaubert, soupçonné d'avoir touché des fonds provenant du régime libyen de Kadhafi qui auraient pu alimenter la campagne de Nicolas Sarkozy.

B. K., âgée de 18 ans, qui évoluait à Thiaroye Basket club (TBC), disparue depuis le 16 septembre 2020, a été retrouvée.

Selon L’Observateur, elle s’est présenté elle-même, avant-hier, de son propre gré, au commissariat de police de Guinaw Rails à Thiaroye.

Devant les limiers, elle évoque un enlèvement pour expliquer sa disparition.

«C’est à la sortie du centre socio-éducatif Apix, situé non de l’autoroute à péage, qu’un véhicule s’est garé à mes pieds avant de m’entraîner de force», a-t-elle confié.

Ensuite, elle a été obligée par ses ravisseurs d’inhaler un produit soporifique qui l’a plongée dans un sommeil profond avant d’être conduite dans une maison pleine de filles.

Dès lors, moult interrogations se bousculent dans la tête des gens, à savoir s’il y a eu enlèvement ou pas. La police poursuit son enquête.