Au début, on parlait de sexe féminin et de sexe masculin. Tout le monde s’y retrouvait. Pas moyen de faire erreur sur les objets, d’ailleurs. Aucune ressemblance, et à l’état civil, le distinguo était aisé.
Puis, les gays, les trans et les lesbiennes crurent bon de participer au débat. Désormais, il y a le sexe masculins, le sexe féminin et celui…. d’entre les … deux tours.
Que fallait-il faire alors ? Pour que personne ne se trompe, on créa alors le mot genre pour regrouper tout le troupeau.
Ce n’est pas méchant genre, puisque tout le monde connait son camp. Mais quand le ministre Youm veut l’imposer sur tout ce qui est officiel, prétexte que c’est plus clair. Même s’il doit être le seul à le croire.
Mais pourquoi diantre attendre justement cette période ou les homos font leur révolution (avec beaucoup de musique, du reste), pour nous imposer le mot «genre» comme si «gor» et «Jigeen» étaient des inventions de nègres?
