Ces deux éléments de la psychologie du sport sont considérables dans les match de haut niveau comme la ligue des champions et la coupe Caf.
Le stress est un ensemble de réponses produites par l’organisme lorsqu’il rencontre une situation qui lui demande un effort d’adaptation c’est pour cela que les arbitres souffrent carrément dans les prises de décisions et c’est dans ce sens que les joueurs et nos staff doivent être très réactifs avec méthodologie pour stimuler le stress positif chez l’arbitre lorsqu’ils sont en situation de défaveur et le stress négatif lorsqu’ils sont en situation de faveur dans le cas d’espèce du match espérance de Tunis et Teunguedj c’est très flagrant et les joueurs n’ont pas su gagner la bataille de l’harcèlement et l’arbitre a finalement offert un bon cadeau à l’espérance de Tunis sur un penalty inexistant ou tout à fait discutable le Jaraaf a vécu la même situation sur un penalty que personne ne peut évaluer et qui est par la suite arrêté par l’excellent portier Pape Seydou Ndiaye.
ces cas risquent de se répéter dans cette poule composée pratiquement d’équipes maghrébines très douées dans ce sens. Ces méthodes que je viens de citer permettent d’installer le doute chez l’arbitre qui prend les décisions des joueurs comme les meilleurs il sort complètement du match et écoute l’équipe la plus méthodique dans l’harcèlement. Le stress en situation sportive est souvent aigüe et se manifeste lors d’une situation ponctuelle comme un coup franc un penalty un hors jeu etc…
c’est d’ailleurs suite a plusieurs constat de décision stressantes de la part des arbitres que la Var a été initiée dans le football moderne qui est devenu très rapide et stressant…
Le football sénégalais est souvent bloqué par la croyance à la magie noire et blanche qui reste des pratiques moins professionnelles pouvant porter atteinte à la crédibilité de notre football. Cette pratique est un frein à l’introduction de la psychologie du sport au Sénégal.