Habituée à faire le buzz sur les réseaux sociaux, la célèbre jetsetteuse malienne Diaba Sora a été arrêtée hier mercredi soir et placée sous mandat de dépôt par le tribunal de la commune IV du district de Bamako. Elle est accusée d’injures sur les réseaux sociaux, dont elle maîtrise pourtant les différentes plateformes sur lesquelles elle est suivie par des millions de personnes à travers le monde. Désormais, la Kim Kardashian malienne médite sur son sort à la prison des femmes de Bolé.
Diaba Sora est l’une des jeunes dames les plus influentes sur le continent africain. Belle, séduisante et très riche, la Malienne, qui vivait au États-Unis avec ses sœurs Koudédia et Moussou, a pris le pouvoir sur les réseaux sociaux. Comme la mondaine américaine Kim Kardashian, Diaba Sora a décidé de mettre en avant ce qui l’a propulsée au sommet, sa beauté. En effet, la belle keynésienne ne passe jamais inaperçue.
Avec son corps de rêve et une silhouette parfaite, la jeune femme prend un malin plaisir à se dévoiler sur Facebook, Instagram et Snapchat…. D’ailleurs elle ne rate pas une seule occasion d’afficher ses courbes de folie ou ses richesses, comme ce fut le cas avec Layla Kane Diallo. Elle avait porté à l’époque un habit tout en or, d’une valeur de plus de 200 millions FCFA.
En revanche, Diaba Sora se fait souvent insulter par certains de ses compatriotes sur les réseaux sociaux, qui pensent qu’elle n’est pas une référence pour la jeunesse malienne. D’autres déclarent même qu’elle n’a rien fait pour mériter sa célébrité. Pourtant, elle ne manque jamais d’imagination pour attirer l’attention, comme dévoiler l’intérieur de sa grande maison, ou filmer ses voyages à Dubaï avec ses deux petites sœurs.
Tout récemment Diaba Sora a présenté à ses fans sa nouvelle Range Rover pour, dit-elle, faire taire ses détracteurs. Souvent, elle se laisse aller dans les provocations, comme ce fut le cas, hier mercredi soir, où elle s’est mise à insulter d’autres personnes sur les réseaux sociaux. Ce qui a été à l’origine de son arrestation et placement sous mandat de dépôt par le tribunal de la commune IV du district de Bamako.