lus besoin de commander des vêtements Zara auprès d’amis qui voyagent et de devoir patienter plusieurs semaines ! La célèbre marque de vêtements espagnole, prisée par les ivoiriennes, arrive en Côte d’Ivoire grâce au lancement d’une plateforme digitale qui rendra disponible ses produits. Ce jeudi 8 novembre, le groupe Inditex a annoncé que la marque de prêt-à-porter arrive sur le continent Africain. Les pays concernés sont la Côte d’Ivoire, l’Angola, le Sénégal et le Ghana. Les clients basés dans ces pays pourront être livrés entre 3 et 7 jours. La marque a déja adapté son site puisqu’il permet de géolocaliser en Côte d’Ivoire. Le groupe a annoncé que les marques Oysho, Bershka et Massimo Dutti offriraient ce même service d’ici 2020.

L’Ambassade des États-Unis d’Amérique au Sénégal, à travers l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID), a organisé, les 17 et 18 octobre 2018, en Guinée-Bissau, un atelier intitulé «Dialogue pour une sécurité inclusive dans les zones frontalières» à Bissau, afin d’améliorer la capacité des forces de sécurité, du gouvernement et des organisations de la société civile du Sénégal et de la Guinée-Bissau à travailler ensemble sur des questions liées à la sécurité des frontières.  Le principal objectif de ce projet de deux ans, connu localement sous le nom de Unaam Kayraay, est de renforcer la société civile et d’aider à promouvoir la paix en Casamance et dans les communautés frontalières.  Des ateliers similaires ont eu lieu plus tôt cette année à Ziguinchor, au Sénégal, et à Banjul, en Gambie.

Pendant le cours sur le Dialogue, les forces de sécurité et les organisations de la société civile ont discuté des problèmes de sécurité aux frontières et ont identifié des moyens spécifiques de travailler ensemble.

Contexte

En coopération avec son partenaire de mise en œuvre, PartnersGlobalUnaam Kayraay travaille en étroite collaboration avec les organisations de la société civile et les communautés situées le long de la frontière entre le Sénégal et la Guinée-Bissau pour s’attaquer aux causes profondes de la conflit en Casamance.  Le projet travaille également avec le Senegambia Women’s Forum, un groupe de défense des droits des femmes, composé de membres de la Gambie, du Sénégal et de la Guinée-Bissau, qui s’emploie à mettre en œuvre la résolution 1325 des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité, qui encourage la participation des femmes à la négociation de solutions pacifiques et à l’aide à la reconstruction des communautés.