Le président Sall a appelé ses adversaires politiques à un dialogue. Seulement, au même moment, ce que d’aucuns ont fini d’assimiler à une chasse à l’homme est en cours contre des membres de l’opposition. Mais pour Me Ousmane Sèye, ce n’est guère contradictoire. « Certes la paix doit être de mise, mais il n’empêche, les fauteurs de trouble doivent être mis hors d’état d’agir », croit l’avocat. À l’en croire, l’État doit prendre les devants pour parer au plus pressé.