Riyad Mahrez et les Fennecs s’étaient-ils dopés lors de la CAN 2019 ? En tout cas, c’est ce qui semble être le cas si on se réfère à l’information parue au lendemain du Community Shield entre Manchester City et Liverpool remporté par les Skyblues. L’attaquant algérien n’a pas été utilisé par son entraîneur, Pep Guardiola car il y avait « un risque antidopage ».
Riyad Mahrez n’a pas pris part au premier match qui précède l’ouverture officielle de la saison de Premier League pour éviter que les médicaments pris pour « un soin à l’œil » par l’ancien Ballon d’Or africain lors de la dernière CAN, « n’enfreignent les règlements antidopage. »
« Un risque au contrôle antidopage »
Pep qui a affirmé ne pas connaître « la substance ingurgitée » par le champion d’Afrique, a donc décidé d’écarter son joueur craignant qu’il soit contrôlé positif. « Riyad m’a appelé et dit: Je veux jouer contre Liverpool. Je lui ai répondu: Tu es plus que le bienvenu. Mais nous ne savons pas ce qu’il avait pris… comme médicaments », a affirmé le technicien espagnol.
« Par conséquent, il existe un risque au contrôle antidopage parce que nos médecins ne savent pas exactement quels médicaments il avait pris (sic !). Heureusement, il sera de retour face à West Ham et tout sera normal à l’avenir », a ajouté Guardiola.
La CAF l’aurait-il autorisé ?
Maintenant, la question que l’on se pose est de savoir si ce médicament venait à être connu et qu’il soit banni par les règlements antidopage, pourquoi un tel produit n’est-il pas interdit par la Confédération Africaine de football (CAF)? Et si d’autres joueurs de l’équipe nationale algérienne ont pris le même « médicament » ?