Mon père n’a que 2 chambres, Sénégal légui fondé ak pain meuna touniouko lék ndah…”

Il porte la voix des sans voix qui ne savent plus où donner de la tête à cause du chômage. Ainsi, tristesse et désolation rythment leurs activités.

Ces jeunes trouvent difficilement la queue du diable pour s’alimenter de bouillie (fondé), du thieré (couscous), de pain au lait, et autres repas pris le soir, à cause du couvre-feu à Dakar et à Thiès. Faute de vendeuses et vendeurs.

Vivre dans la dèche

Mais ce jeune, rencontré lundi et qui a porté leur voix, après une prise de conscience, vit aussi dans la dèche. Son Baccalauréat en main, il ne peut faire de concours, n’ayant pas d’argent pour constituer le dossier de candidature.

La jeunesse sénégalaise raconte son calvaire …

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