Quand j’ausculte le champ politique, je révère mes vaillants et dévoués enseignants qui se sont évertués à me faire comprendre tout le sens et la portée d’un honnête homme. J’ai particulièrement apprécié le sens littéraire qu’il emporte notamment au 17e siècle, à savoir un homme « mêlé », un homme qui brille par ses connaissances, ses compétences, son savoir-être, sa probité morale et son honnêteté intellectuelle, vertus, somme toute, que l’on retrouve chez M. Moise SARR.
Il me tarde de voir des apprentis politiciens s’approprier ces vertus et s’affranchir du mensonge et de la délation. Il est temps que ces derniers comprennent que la fidélité en politique ne doit pas être assimilable à de la légèreté au point de verser dans la compromission et la diffamation. Aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin d’hommes politiques d’un genre nouveau.
Ceci dit, je me demande dans quelle forge il faudrait amener Monsieur Ndongo DIOUF, puisque c’est de lui qu’il s’agit, pour l’éprouver au feu de la vérité.
J’ai, en effet, été surprise de lire ce cabotin qui assimile mal LE ROLE QU’ON A VOULU LUI FAIRE JOUER en publiant un papelard sur un homme d’actions qui préfère être jugé sur les faits plutôt que sur des querelles de basse-cour.
Dans sa publication (qui au demeurant ne mérite pas d’être qualifiée d’article tant elle n’en remplit pas les critères), Monsieur DIOUF, accuse le Secrétaire d’État Moïse SARR de s’approprier les résultats de la Caritas dans l’accompagnement des périmètres maraîchers de la commune de Diarrère. Et pourtant, les images sont encore fraîches dans nos têtes : l’année dernière, une délégation du conseil municipal avec à sa tête Mme le Maire Thérèse FAYE DIOUF a fait le tour des champs de maïs de ces mêmes femmes avec M. Dominique SENE que l’on accuse injustement aujourd’hui. Dieu est vraiment juste ! L’honnêteté intellectuelle devrait interdire à Ndongo DIOUF de se prononcer sur des choses qu’il ne maîtrise pas et pour preuve :
Pour rester dans la stricte rigueur des faits, il ne s’agit point de FINANCEMENT OU ENCORE DE LA CÉLÉBRATION DES RÉSULTATS DE CARITAS, MAIS PLUTÔT DE CEUX DE DEUX ASSOCIATIONS FRANÇAISES QUE SONT d’une part, CEDO ET, d’autre part, KEUR D’AFRIQUE.
Il est alors malvenu et malsain, à ce stade, de convoquer ou d’interpeler une organisation caritative sénégalaise parce que l’un des participants à la belle cérémonie du 30 avril dernier,
à l’occurrence M. Dominique SENE est un de ses employés. CARITAS SÉNÉGAL N’A JAMAIS FINANCÉ LES PÉRIMÈTRES MARAICHERS VISITÉS. Certainement tétanisés par le franc succès de l’évènement et de la popularité indéniable M. Moise SARR auprès des populations, vous avez voulu ternir son image. Mais votre tentative sera infructueuse et vaine tant votre cible est un homme d’État dont l’intégrité morale et intellectuelle ne souffre d’aucun doute.
Quand le manque de rigueur et d’honnêteté fait défaut, tout s’écroule comme un château de cartes, à commencer par les arguments cousus de fil blanc et tirés par les cheveux ! On s’accroche à une stratégie pour espérer gagner une guerre, là où un terrain de bataille n’existe même pas. Peine perdue ! Car, interrogées sur la réalité des faits, les bénéficiaires sauront reconnaître les siens et vomiront les fidèles membres d’un attelage aux crocs acérés, affamés au point de ravaler leurs vomis.
S’agissant des imaginaires résultats d’élections dont certains gardiens du temple détiendraient les procès-verbaux, je tiens à préciser que depuis 2009 bien avant l’arrivée de Mmme le Maire dans notre commune (en 2014), avec la coalition DEKKAL NGOR, jusqu’à la Présidentielle de 2019, Moïse SARR et son équipe ont toujours gagné Bicole malgré le fait que les chefs de file et leaders du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et du Parti socialiste (PS) de la commune de Diarrère habitent, avec lui, le même village. Ce sont les faits et, comme disait l’autre, « les faits sont têtus », n’en déplaise aux pseudo- prestidigitateurs.
Dans notre cher pays, la paranoïa inquiète, mais le ridicule ne tue pas. Tout porte, donc, à croire que seuls les chiens ne sont pas fidèles dans ce pays. Eh bien qu’ils souffrent ces invétérés fidèles à la bave de grenouille, que la pisse du chien ne saura jamais atteindre le haut du réverbère.
Les arguments sont ailleurs. Un maire a, en réalité, été fautif d’inélégance au point de ne pouvoir, bien qu’il ait été invité, accueillir un diplomate de haut rang qui visite sa commune. Il n’est donc pas étonnant qu’un politicien à la nuque raide qui se trompe de combat soit en retard par rapport à son temps, mais également vis-à-vis des femmes et hommes de son époque. Frappé de logorrhée stérile, il délire. Et pour ne pas me prononcer sur des questions que je ne maîtrise pas, je réserve le diagnostic aux psychiatres…
Qu’on se le tienne pour dit, M. Ndongo DIOUF revenu fraîchement d’études en Chine avec l’aide de son éternel bienfaiteur M. Moise SARR ne peut malheureusement être le baromètre des résultats réalisés par ce dernier dans notre chère commune et bien au-delà. Le seul et
unique juge de la mission du Secrétaire d’État suit et apprécie positivement ses actions puisque bien informé de ses initiatives constamment évaluées.
Pendant ce temps, le RÉVERBÈRE éblouit de mille feux la commune de DIARRERE.
Marie Danielle NDIOR, Conseillère municipale à DIARRERE Présidente de la Commission actions sociales et Promotion féminine
Marie Danielle NDIOR,
Conseillère municipale à DIARRERE
Présidente de la Commission actions sociales
et Promotion féminine