Les violences inter communautaires entre les éleveurs, constitués en majorité de Musulmans et les agriculteurs, composés beaucoup plus de Chrétiens, suscitent l’inquiétude de l’Église catholique qui accuse l‘État nigérian de « légèreté » dans la résolution du problème.
Face à de telles accusations, l’Etat a de son coté également réagi : « Ces critiques sont une manière de semer la panique au sein de la population. Elles contribuent au renforcement de l’insécurité », a déclaré Femi Adesina, conseiller spécial du Président aux médias et aux Relations publiques.
Celui-ci ajoute : « Toute proposition pertinente est la bienvenue pour trouver des solutions durables aux problèmes auxquels le pays est confronté, en particulier les meurtres présumés ou réels de bergers », rapporte africanews.com.