La tragédie de Sacré-Cœur retient toujours l’attention. Pour Oustaz Makhtr Sarr, ce drame n’a rien à voir avec nos us et coutumes.
Le suicide, on en connait au Sénégal. Mais tuer ses fils et se suicider n’est pas sénégalais, ça court chez les toubabs, dépourvus en général de culture religieuse.
L’homme religieux qui n’arrive pas à comprendre cette scène, alerte qu’abréger sa vie ne signifie nullement qu’on est à l’abri, si ça se trouve, on amorce le commencement du calvaire voire de l’enfer.
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