Noha Cissé, membre du GRPC craint pour le processus de la paix en Casamance. Il invite les concernés à échanger avec les autorités étatiques pour rendre possible ces retrouvailles.
« Notre espoir commence à s’estomper. Il y a beaucoup de contraintes et les signaux sont au rouge. Les évènements de Boffa Bayottes en est une illustration ainsi que les attaques du pont de Ndiambana pour séparer Oussouye et le reste de Ziguinchor. La 3e chose, c’est l’exploitation du zircon », a-t-il constaté.
« Les choses sont déjà compliquées », précise Noha Cissé, qui exige un renforcement du dialogue et de la sécurité, pour faciliter le retour de la paix