Pour percer le mystère Viviane Chidid, L’Observateur a donné la parole à deux spécialistes dont les voix comptent : l’animateur vedette de la TFM, Pape Cheikh Diallo, et l’acteur culturel Guissé Pène. A en croire ces deux experts, le secret de la longévité, de la forme physique et de la popularité du style vestimentaire de la Reine du Djoloff Band, malgré près de 30 ans de carrière et la cinquantaine sonnante, tient à sa capacité à s’adapter à son époque et sa proximité avec ses enfants. «Pour qu’un artiste soit ‘intemporel’, il faut qu’il ait cette capacité à se mettre à jour, décrète Pape Cheikh Diallo. Cette capacité d’adaptation est inhérente au talent. Viviane a acquis ce talent grâce aux chansons de variétés. Elle n’a pas démarré sa carrière avec le mbalax, mais avec des chansons de variétés.» Ce n’est pas tout. «Elle a en plus eu à faire des featuring avec des rappeurs, signale l’animateur. Tout cela a forgé son style musical. Côté vestimentaire, elle s’impose aussi. En somme, elle exploite son talent, son charme et sa beauté, comme il le faut. C’est ce qui l’aide à toujours maintenir le flambeau.» Guissé Pène acquiesce : «Viviane a reçu une formation dans la variété. Elle est donc dans son registre. Ses derniers tubes ont des relents de variétés. C’est qui lui facilite cette jonction, dans ses productions, entre son public jeune et son public âgé. Autant les jeunes peuvent se retrouver en elle, autant les plus âgés peuvent se retrouver en elle. La preuve, c’est l’une des rares femmes à jouer des spectacles de dîners de gala.» L’expert ajoute : «Elle a un public pratiquement jeune. Elle essaie de ressembler le maximum possible à son public, ce qui lui fait garder son éternelle jeunesse. Elle sait très bien qu’elle est dans un monde de spectacle et dans ce milieu, il faut faire rêver en tenant compte de son comportement, son style d’habillement, ses textes et son charme. Elle l’a compris, contrairement à beaucoup d’artistes femmes qui, dès qu’elles atteignent la trentaine, commencent à se laisser aller en changeant totalement leur style vestimentaire et leurs comportements. Alors que pour faire du spectacle, on a besoin d’énergie. Et cette énergie a besoin d’être dopée par un style.» Guissé Pène est persuadé que si Viviane a réussi cette transition, c’est grâce aussi à l’étroitesse de sa relation avec ses enfants, Philippe, qui chante comme elle, et Zeyna, qui est populaire sur les réseaux sociaux. «On l’aime pour cela, affirme l’acteur culturel. Si elle sort de ce registre, elle va perdre une bonne partie de son public. Cela ne sera pas à son avantage.» Avec Seneweb

Santé publique France publie pour la première fois au sein d'un rapport unique une série d'indicateurs, pour décrire l'état de santé des femmes enceintes et des nouveau-nés. Malgré un niveau « élevé et stable » de prise en charge en France, certaines données « plaident en faveur d'un renforcement de la santé périnatale », souligne Santé publique France. Première source d'inquiétude : les décès de nourrissons moins de 27 jours après leur naissance, sont à la hausse. Un résultat « qui doit faire l'objet d'une attention particulière pour inverser les tendances ces prochaines années », souligne le rapport. En métropole, le taux de mortalité néonatale est passé de 1,6 à 2 décès pour 1.000 naissances vivantes entre 2010 et 2019.

Dans un nouveau rapport, Santé publique France alerte sur la « situation préoccupante de la santé périnatale ». La mortalité grimpe notamment en Ile-de-France, mais cet indicateur est particulièrement élevé dans les départements et régions d’outre-mer.
Santé publique France publie pour la première fois au sein d’un rapport unique une série d’indicateurs, pour décrire l’état de santé des femmes enceintes et des nouveau-nés. Malgré un niveau « élevé et stable » de prise en charge en France, certaines données « plaident en faveur d’un renforcement de la santé périnatale », souligne Santé publique France.

Première source d’inquiétude : les décès de nourrissons moins de 27 jours après leur naissance, sont à la hausse. Un résultat « qui doit faire l’objet d’une attention particulière pour inverser les tendances ces prochaines années », souligne le rapport. En métropole, le taux de mortalité néonatale est passé de 1,6 à 2 décès pour 1.000 naissances vivantes entre 2010 et 2019. leral