Les écoles primaires, de l’élémentaire au supérieur, sont au bord de l’apoplexie en raison de l’état d’urgence prolongée jusqu’au 4 mai 2020. Les parents d’élèves et d’étudiants ne paient plus les mensualités et attendent de voir. « Nous demandons une subvention de deux à trois mois pour faire face à nos charges courantes », dixit Daour Diop (CUNEPES). Les enseignants appellent à des concertations. Mamadou Moustapha Diagne Directeur de la formation professionnelle évoque un réaménagement du calendrier scolaire, écrit Enquête.