Réouverture de la saison de lutte le 1er octobre : Le Cng exige le pass sanitaire à tout le monde

Réouverture de la saison de lutte le 1er octobre : Le Cng exige le pass sanitaire à tout le monde

Le président du Comité national de gestion de la lutte (Cng) a eu le feu vert des autorités pour l’ouverture à nouveau de la saison. A partir du 1er octobre prochain, les promoteurs ont la latitude d’organiser leurs galas soit à l’arène nationale, soit au stade Iba Mar Diop. Seulement, Bira Sène et son équipe exigent le pass sanitaire pour accéder aux gradins. une manière de stopper la propagation du Coronavirus,.
Ouf de soulagement pour les promoteurs de lutte. Malgré l’existence toujours de la maladie de Covid-19, les acteurs du sport de chez nous ont trouvé un accord avec les autorités pour l’ouverture de la saison à partir du 1er octobre 2021.

Cette nouvelle a été annoncée par le président du Cng, Bira Sène. «Nous nous sommes retrouvés au siège du Cng de lutte à l’arène nationale pour examiner la reprise des galas de lutte.

La saison 2020-2021 a été écourtée à cause de la pandémie de coronavirus. Et après concertation avec les autorités, le ministre des Sports Matar Bâ et le gouverneur de la région de Dakar, nous nous sommes entendus pour la reprise des galas de lutte qui étaient déjà programmés », a déclaré Bira Sène en conférence de presse.

Pour une bonne reprise des activités dans les deux stades dédiés à cette discipline, le président du Cng pose des préalables. Selon lui, pour accéder au stade, il faut impérativement un pass sanitaire.

«Il a été retenu également de respecter les mesures barrières, en commençant par la vaccination, le port du masque, le lavage des mains et la distanciation physique. Forts de ça, nous avions tenu une réunion hier ici même et nous avons convoqué les promoteurs aujourd’hui pour qu’on essaie de voir ensemble les modalités pratiques pour la reprise et également pour que chacun puisse prendre une date pour ses activités », a-t-il ajouté.

Dans le souci d’éviter tout télescopage entre les choix des dates, le successeur de Alioune Sarr a catégorisé les promoteurs qui doivent organiser les combats. Pour lui, les promoteurs qui avaient déjà eu des galas programmés et régularisés ont la primeur.

Il a tenu également à préciser que les promoteurs ainsi que les lutteurs déjà engagés ne vont pas acheter de nouvelles licences.
«Nous avons donné la possibilité aux promoteurs, aux managers, aux lutteurs qui sont impactés et qui se trouvent dans ce lot-là de continuer à dérouler leurs activités sans acheter une nouvelle licence jusqu’au 15 décembre. Passé ce délai, ils seront obligés d’acheter une nouvelle licence. Nous avons également dit aux promoteurs de veiller à ce qu’après la prise des dates, les combats soient réalisés», a-t-il conclu.
L’As