Les maladies cardiovasculaires demeurent en tête des principales causes de décès, devant le cancer. Des statistiques peu réjouissantes, mais qui permettent d’orienter les politiques de santé publique. Et de réfléchir sur une époque marquée par la sédentarité et certaines habitudes alimentaires.
«Les principaux facteurs de risque responsables de cette épidémie sont notamment le tabac, l’obésité et l’hypertension artérielle», souligne le ministère de la Santé sur la page dédiée au premier plan national maladies cardio-neuro-vasculaires. «Il s’avère cependant que la majorité de ces décès est évitable. En effet, en agissant sur les principaux facteurs de risque (consommation de tabac et d’alcool, alimentation, sédentarité, hypertension, obésité, facteurs environnementaux, etc.), plus de 80% de l’ensemble des cardiopathies, accidents vasculaires cérébraux et cas de diabète seraient évités.»