Une fillette de 9 ans est décédée tragiquement après que son corps a commencé à pourrir à la suite d’un incident de «viol rituel».
Habiba aurait été violée par un chef de 60 ans dans l’État d’Edo. Selon Priscilla Usiobaifo, la fondatrice de Brave Hearts Initiative, le chef a avoué le crime et a demandé pardon, mais il a fui la communauté lorsqu’il a découvert que les parents de la fille étaient déterminés à obtenir justice.
Habiba, qui a été violée le 11 juin 2020, a rapidement commencé à pourrir. Cela a commencé avec ses crises d’épilepsie quelques heures après l’incident de viol. Puis elle est devenue malade et sa santé a continué à se détériorer, ce qui a amené les gens à suggérer qu’elle avait été violée pour des rituels.
La semaine dernière, des éruptions cutanées sont apparues sur la peau d’Habiba et sa peau a commencé à peler.
Elle est décédée samedi dernier, 29 août, alors qu’elle était transférée dans un hôpital plus avancé où elle devait recevoir de meilleurs soins.
Mme Usiobaifo a révélé qu’Habiba était devenue tellement déformée avant sa mort qu’il était « extrêmement difficile » de la reconnaître.
La mère du défunt est inconsolable et le suspect est toujours libre. La police de la division Igarra d’Akoko-Edo, dans l’État d’Edo, aurait tenté à plusieurs reprises de capturer le chef, mais en vain.
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