Bien décidé à voir partir Tanguy Ndombele, Jean-Michel Aulas espère convaincre le PSG de recruter le milieu de terrain tricolore. A condition que le club de la capitale y mette le prix.
Houssem Aouar, Tanguy Ndombele, Ferland Mendy, Anthony Lopes, Nabil Fekir, Memphis Depay, Moussa Dembélé… Les joueurs lyonnais sont une nouvelle fois très convoités. Les belles performances de l’OL en Ligue des champions n’ont pas échappé aux recruteurs européens et Jean-Michel Aulas va devoir résister aux assauts de la concurrence, plusieurs grands d’Europe faisant les yeux doux à ses plus beaux joyaux.
Le président lyonnais a pourtant d’ores et déjà dressé les grandes lignes du mercato en assurant, qu’outre le cas particulier de Nabil Fekir, qui aurait dû quitter l’OL l’été dernier, il n’y aurait que deux départs. On sait Ferland Mendy tout particulièrement courtisé et Anthony Lopes, qui ne semble pas décidé à prolonger, forcément proche de la sortie à un an de la fin de son contrat, ce que confirme d’ailleurs l’intérêt pour Ciprian Tatarusanu.
Aulas veut 80 M€
Pour autant, si un départ semble inévitable, c’est bien celui de Tanguy Ndombele. En premier lieu parce que l’OL espère retirer quelque 80 millions d’euros de la vente de l’ancien Amiénois mais également parce que l’international tricolore n’a pas eu un comportement toujours irréprochable cette saison. Au point de ne plus faire l’unanimité chez les dirigeants lyonnais.
Le premier d’entre eux, Jean-Michel Aulas, milite en tout cas clairement pour son départ et si possible au PSG. “Si le PSG est d’accord pour s’aligner sur les deux ou trois propositions que nous avons, et que Tanguy, qui choisira in fine son lieu de destination, est d’accord, évidemment que ça serait bien qu’il aille au PSG”, a d’ailleurs expliqué JMA au micro d’OL TV. Reste à savoir si le milieu de terrain lyonnais constitue une priorité pour le club de la capitale, pour l’heure bien plus intéressé par Allan. Surtout les 80 millions d’euros réclamés par l’OL ont de quoi refroidir les ardeurs des courtisans. La Juventus, qui a coché son nom à l’instar de Manchester City ou du Real Madrid, ne voudrait d’ailleurs pas aller au-delà des 60 millions d’euros.
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