Khalifa Sall n’a pas hésité à faire un listing des crocs-en- jambe reçus de la part de l’Etat à l’issue de l’audience d’hier après que le juge Malick Lamotte a demandé aux prévenus s’ils avaient des observations à faire.
“On ne m’a pas fait seulement une entrave sur l’emprunt”, a-t-il dit. Avant de poursuivre que le pavage de la ville de Dakar est le plus bel exemple de crocs-en-jambe.
Selon Khalifa Sall, ils avaient investis 15 milliards de Fcfa et ce projet devrait permettre à 30000 jeunes qui étaient en formation d’y travailler. Mais le projet a connu des problèmes à cela s’ajoute celui des gazons synthétiques qui lui a été retiré. Il continue avec le projet des déchets publics en soulignant que tout ceci constitue une entrave, une situation de combat politique qui ne profite pas à la population.
Le député maire soutient que depuis qu’il a rejeté l’offre du président de la République de juin et septembre 2012, il ne figure plus dans les protocoles de l’Etat, signale Les Echos. Le maire de la capitale n’est plus convié dans les cérémonies importantes où ses prédécesseurs assistaient.
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