« Khame nani deh doome, ya bari bayeré ! « . Après les « confessions » de Adji Sarr dans ce qui reste du « Monde » de Hubert Beuve-Mery, et de « Jeune Afrique » de Béchir Ben Yahmed, tout le monde se demandait qui était l’entremetteur. Pardon! Astakhfiroulah! Je veux dire qui était le facilitateur.
Pendant trois jours, les supputations allèrent bon train. Mais c’est seulement au quatrième, qu’une bonne volonté « fumiste » avança le nom d’une dame. Celui de G. Kane, que porte justement une certaine dame « beugg télé », qui se dit journaliste, très proche de la presse collabo et du Pouvoir, même si elle revendique un statut de féministe et d’activiste.
Suffisant dès lors, pour que se déchaîne Gabrielle Kane qui, sans doute, se sentait visée.
Rusée comme tout, elle délaisse le petit écran où on l’attendait, probablement, pour aller causer avec les sites Internet à moindre spectre.
Cela ne servira à rien. Elle se bagarrera presque avec l’animatrice de service qui, visiblement, avait du mal à croire à sa neutralité dans l’affaire Adji Sarr-Sonko, avant de lever l’ancre à la recherche d’oreilles plus compréhensives.
Ce qui a étonné cependant, c’est la rage folle dans laquelle elle entre chaque fois qu’on associe le nom de la présumée victime de viol à une manipulation des associations féministes. Mbadou…