Le scrutin sénatorial du 29 décembre pourrait aboutir à une subtile redistribution des cartes avant la présidentielle de 2019.
Sans tambour ni trompette. Dans les rues de la capitale, difficile de déceler la moindre trace des élections sénatoriales du 29 décembre. Ni affiche ni banderole. Pas même un tract. C’est que le renouvellement de la moitié des membres du Conseil de la nation est avant tout une affaire de tractations en coulisses. « Certains candidats mettent jusqu’à 30 millions de dinars (environ 222 000 euros) sur la table pour acheter des voix », déplore le responsable d’une formation politique de la mouvance démocratique.
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