Cheikh Bamba Ndiaye a fait un sévère réquisitoire du Dialogue national et de la réponse du chef de l’Etat lors de cette rencontre affirmant qu’il ne peut intervenir dans le dossier Khalifa Sall tant que la procédure est en cours.
« Ce n’est pas celui qui a tort qui doit pardonner », a déclaré le leader du Fsdbj sur la RFM. Il a demandé « à ceux qui demandent tout le temps le pardon du chef du l’Etat pour Khalifa Sall, d’arrêter de s’abaisser de la sorte ».
Car, a-t-il dit, « la vérité finira tôt ou tard par jaillir ». Surtout que, ajoute-il, « le règlement numéro 5 de la Cedeao est assez clair » sur cette affaire.