
C’était dans l’air du temps depuis quelques jours, c’est désormais officiel. Le FC Barcelone a annoncé l’arrivée de Martin Braithwaite. L’ancien joueur du Toulouse Football Club a été recruté en tant que joker médical suite à la longue blessure d’Ousmane Dembélé.
Braithwaite, un joker médical
Le feuilleton est enfin terminé. Démarrée début janvier après la blessure de Luis Suarez, la quête de l’attaquant tant désiré est en effet enfin assouvie pour le FC Barcelone. Et après avoir tenté de recruter Rodrigo, Cédric Bakambu, ou plus récemment Willian Jose, Cisthian Stuani et Angel Rodriguez, les Blaugrana, qui ont été autorisés à recruter un joker médical après la blessure d’Ousmane Dembélé, ont finalement jeté leur dévolu sur Martin Braithwaite.
Un contrat de trois ans et demi
Auteur de 10 buts et 7 passes décisives en 43 matches de Liga depuis son arrivée à Leganes en janvier dernier, Martin Braithwaite s’est engagé pour trois ans et demi. A en croire Sport, le Barça se serait néanmoins déjà entendu avec l’agent du Danois, Ali Dursun pour qu’il soit vendu lors du prochain mercato estival s’il ne répondait pas aux attentes.






![Liban: les pénuries d’essence continuent et entraînent des files d’attente monstres Malgré les promesses du gouvernement, la fin progressive des subventions qui maintenaient le sans plomb et le diesel à un prix huit fois inférieur au marché n’a pour l’instant pas l’effet escompté. Les files d’attente devant les stations continuent, et beaucoup de pompes restent fermées ce mercredi 30 juin. PUBLICITÉ Avec notre correspondant à Beyrouth, Noé Pignède En plein centre-ville de Beyrouth, une file d’attente de plusieurs kilomètres s'est formée pour faire le plein. Les Libanais excédés désespèrent d’avoir de l’essence. « Les stations-services ont du pétrole mais elles l'ont gardé ces derniers jours parce qu'elles attendaient l'annonce officielle qui disait que le prix de l'essence allait augmenter progressivement chaque jour, explique Yara, qui se bat depuis trois heures pour ne pas perdre sa place dans la file d'attente. Ils ont augmenté aujourd'hui de 50%. Évidemment si je me mets à leur place et que je suis fourbe, je me dis : "Qu'est ce que je m'en fiche du peuple ? Pourquoi ne pas me faire 50% en 24h ? Je garde, qu'il crèvent, qu'ils n'aient pas d'essence, ils reviendront comme des petits chiens à attendre et mendier !"... Et ça ce n'est que le début ! » Ce n'est que le début, car dans trois mois, avec l’arrêt des subventions, un plein d’essence devrait coûter 600 000 livres libanaises, soit 80% du salaire minimum mensuel. Petite corruption En plus de l’augmentation des prix, les Libanais font toujours face à de grosses limitations du nombre de litres par voiture : tout est rationné. Mais pour cela, Yara, qui doit faire plusieurs centaines de kilomètres aujourd’hui pour son travail, a trouvé la parade. « Ce que je vais faire, et c'est horrible, je vais le supplier [le pompiste, NDR] de me remplir deux fois la limite en lui glissant quelque chose sous la manche, sous la table... Si vous croyez que je suis la seule... Je déteste ça dans ce pays, mais voilà ce que je suis devenue », déplore la jeune femme. Une petite corruption à laquelle se livrent désormais tous ceux qui en ont les moyens. Pour les autres, se déplacer va devenir un luxe, dans un pays quasiment dépourvu de transports publics.](https://actuvision.com/wp-content/uploads/2021/06/liban-218x150.jpg)





