Procès à la Crei : L’État prêt à « réhabiliter » Karim

Karim Wade, son of former Senegalese President Abdoulaye Wade, arrives at a courthouse in Dakar, Senegal, flanked by two prison guards on July 31, 2014, for the start of his trial for charges of illicit enrichment. The file of charges against Karim Wade has "nearly 40,000 pages," the Senegalese Justice Minister said on July 30, 2014. Wade has been in custody since April 2013, accused of illegally acquiring 178 million euros through complex financial arrangements when he served as counselor and then minister under his father Abdoulaye Wade. AFP PHOTO / STRINGER

Va-t-on vers une amnistie pour Karim Wade ? En tout cas, selon les informations de L’Observateur, l’État du Sénégal s’est engagé, à Genève, devant le Comité des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme, à « réhabiliter » Wade-fils.
En clair, le Sénégal a décidé de réparer les préjudices subis par Karim Wade lors de son procès à la Cour de répression der l’enrichissement illicite (Crei). L’annonce a été faite par Fatou Gaye, ministre-conseillère à la Mission permanente auprès des Nations-Unies.

Cette dernière, qui conduisait une délégation sénégalaise, à Genève, en a fait la promesse, hier mardi, au Comité des Droits de l’Homme. Ce, à l’occasion de l’examen du rapport soumis par le Sénégal au tire du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

seneweb